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LETTRE OUVERTE : Détruite par son agresseur et anéantie par la Justice.
Je m’appelle Astrid, j’ai 30 ans, j’ai été victime d’un viol.
Je n’en ai pas parlé pendant deux ans, je pensais pouvoir arriver à vivre normalement et réussir à effacer ce cauchemar.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 28 décembre 2013 à Terre de Haut en Guadeloupe, où j’ai vécu pendant 6 années.

"On ne peut pas trier les victimes": violée par "un OQTF", elle tacle l'absence d'associations féministes
Violée par un multirécidiviste sous le coup d'une OQTF, une obligation de quitter le territoire français, Claire Geronimi, aujourd'hui vice-présidente d'UDR, le parti d'Eric Ciotti, dénonce l'ambivalence d'associations féministes, qui elles-mêmes pointent une récupération par l'extrême-droite des agressions sexuelles. Un homme sous le coup d'une OQTF a été condamné à 18 ans de prison et une interdiction du sol français ce vendredi, pour les viols de deux femmes dont Claire Geronimi, présidente de l'association Éclats de femme et vice-présidente de l'UDR, le parti d'Eric Ciotti.

Viols de Claire et Mathilde : quand la barbarie frappe à nos portes
Des victimes qui savent rester digne, un bourreau qui ne sait que demeurer indifférent, un double crime qui n'aurait pas dû avoir lieu, enfin l'intuition pénible qu'il y en aura d'autres du même genre : c'est le tableau habituel d'une journée à la Cour d'appel de Paris. Du 24 au 26 septembre s’est tenu le procès de l’agresseur de Claire Geronimi et d’une autre jeune fille, Mathilde L., toutes deux violées à 45 minutes d’intervalle par Jordy Goukara le 11 novembre 2023. Nous avons pu assister à la deuxième journée de ce procès et entendre les rapports des experts ainsi que l’interrogatoire de l’accusé. L’audience avait lieu à la Cour d’appel de Paris, boulevard du Palais sur l’île de la Cité, dans une salle majestueuse où les magistrats continuent de trôner en robe, mais sans jury populaire car depuis 2023 les cours criminelles ont remplacé les cours d’assise pour juger les crimes pouvant être punis de 15 à 20 ans de prison, en l’occurrence des viols dans la grande majorité des cas.

Viol de Claire Geronimi : « Certaines associations n’ont pas voulu m’aider », dénonce la victime
Claire Geronimi, engagée politiquement, a accordé un entretien au Point, dans lequel elle revient sur la condamnation de son violeur à dix-huit ans de réclusion criminelle, ce qu'elle a vécu et les errances qu'elle a pu rencontrer dans la prise en charge des victimes. La cour criminelle de Paris a condamné, vendredi 26 septembre, l’homme qui a violé Claire Geronimi et Mathilde en novembre 2023 à Paris, à dix-huit ans de prison ferme avec interdiction définitive du territoire français. La première, engagée politiquement et désormais vice-présidente de l’Union des droites pour la République (UDR) d’Éric Ciotti, est revenue sur cette affaire pour Le Point.

Deux viols le même jour, dont celui de Claire Geromini : un homme condamné à 18 ans de prison à Paris
Un homme de 27 ans a été condamné vendredi 26 septembre à Paris à dix-huit ans de réclusion criminelle pour deux viols. Une des deux victimes est Claire Geronimi, aujourd’hui vice-présidente de l’Union des droites pour la République (UDR). Un homme de 27 ans a été condamné à Paris pour deux viols le même jour dans la capitale en novembre 2023, dont celui de Claire Geronimi, engagée désormais en politique auprès d’Éric Ciotti, a indiqué samedi l’avocat de cette victime.

«Les femmes de droite sont devenues féministes ?» : une présidente d’association s’attaque à Claire Geronimi en plein procès
La présidente de la Fondation des femmes, Anne-Cécile Mailfert, accuse la droite d’instrumentaliser le procès de l’agresseur sous OQTF de Claire Geronimi. La vice-présidente de l’UDR n’a pas tardé à lui répondre. En plein procès pour viols qui se tient cette semaine à Paris, Claire Geronimi et Mathilde doivent affronter, en plus de leur agresseur présumé, les critiques d’Anne-Cécile Mailfert. Ce jeudi 25 septembre, la présidente de la Fondation des femmes a publié une vidéo sur Instagram intitulée : « Les femmes de droite seraient-elles devenues féministes ? ».

«La justice peut se montrer exemplaire par moment», juge Claire Geronimi, dont le violeur à écopé de 18 ans de prison
Invitée ce samedi sur le plateau d'"Eliot Deval et vous", Claire Geronimi salue la décision de justice à l'encontre de son violeur. La jeune femme a été violée en 2023 dans un hall d'immeuble par un Centrafricain sous le coup de plusieurs OQTF. Ce dernier vient d'écoper 18 ans de prison et d'une interdiction définitive du territoire français.
Après trois jours de procès, la sanction est enfin connue. Ce vendredi, l'homme ayant violé deux jeunes femmes, Claire Géronimi et Mathilde, a été condamné à 18 ans de prison et à une interdiction définitive du territoire, du fait d'un "risque majeur de récidive", a estimé la justice.

Un homme condamné à dix-huit ans de prison pour deux viols, dont celui de Claire Geronimi, une figure médiatique de l’extrême droite
Un SDF centrafricain sous obligation de quitter le territoire (OQTF) a été reconnu coupable des viols de deux jeunes femmes, un samedi après-midi, à Paris, le 11 novembre 2023. Un homme de 27 ans a été condamné à Paris à dix-huit ans de prison pour deux viols commis le même jour, dans la capitale, en novembre 2023. L’une des victimes est Claire Geronimi, engagée désormais en politique auprès d’Eric Ciotti, a fait savoir samedi à l’Agence France-Presse (AFP) son avocat.

«L’État est censé nous protéger» : le combat politique de Claire Geronimi face à un homme sous OQTF jugé pour l’avoir violée à Paris
RÉCIT - Le procès de l’accusé, un Centrafricain de 27 ans, s’ouvre ce mercredi devant la cour criminelle de Paris. Après son agression, Claire Geronimi est devenue une figure médiatique et politique dénonçant les dysfonctionnements liés aux OQTF.
«Je suis très stressée de revoir mon agresseur. Pour moi, une victime ne peut pas se reconstruire tant qu’il n’y a pas eu justice. J’attends que la peine soit exemplaire», débute Claire Geronimi. Cette jeune femme de 28 ans, désormais engagée en politique aux côtés d’Éric Ciotti à l’UDR, a été violée en plein après-midi dans son hall d’immeuble, à Paris, le 11 novembre 2023.

Paris : Deux viols le même jour… Un homme de 27 ans condamné à dix-huit ans de prison
procès - Un homme de 27 ans sous OQTF, a été condamné vendredi à Paris à 18 ans de réclusion pour deux viols perpétrés le 11 novembre 2023 dans la capitale, dont celui de Claire Geronimi, désormais engagée en politique
À Paris, un Centrafricain de 27 ans, Jordy Goukara, a été condamné vendredi par la cour criminelle départementale pour deux viols commis le même jour, le 11 novembre 2023, dans la capitale, dont celui de Claire Geronimi, aujourd’hui engagée en politique auprès d’Éric Ciotti, a indiqué samedi Me Romain Vanni, l’avocat de cette victime. Les femmes avaient été victimes de viol à quelques minutes d’écart dans le hall de leurs immeubles respectifs, sous la menace d’un couteau artisanal.

Claire Geronimi violée par un OQTF : « J’ai dénoncé quelque chose qui peut déranger »
INTERVIEW. La jeune femme raconte son combat après son agression par un ressortissant centrafricain sous obligation de quitter le territoire, condamné vendredi à dix-huit ans de prison. Condamné à dix-huit ans de prison ferme avec interdiction définitive du territoire français. C'est la peine prononcée par la cour criminelle de Paris, vendredi 26 septembre, à l'encontre de l'homme qui a violé Claire Geronimi et Mathilde le 11 novembre 2023, à une heure d'intervalle, en plein jour, dans le 16e arrondissement de Paris. L'agresseur, un ressortissant centrafricain sous OQTF (obligation de quitter le territoire français), a fini par reconnaître les faits lors de son procès. Il a dix jours pour faire appel de cette décision.

Viol de Claire Geronimi : l’accusé condamné à 18 ans de prison ferme et interdit de territoire français
Vendredi 26 septembre, le tribunal de Paris a prononcé une peine de 18 ans de réclusion criminelle à l’encontre d’un ressortissant centrafricain, visé par une OQTF, reconnu coupable du viol de Claire Geronimi ainsi que d’une autre victime. Le procès pour viol de Claire Geronimi s’est conclu par une condamnation à 18 ans de réclusion criminelle contre un ressortissant centrafricain, reconnu coupable du viol de Claire Geronimi et d’une seconde victime, comme le relate CNews. Déjà visé par trois obligations de quitter le territoire français (OQTF) en 2020, 2021 et 2023, il comparaissait pour des faits jugés d’une extrême gravité.

«Il a la peine qu’il mérite», Claire Geronimi réagit à la condamnation de son violeur
Claire Geronimi s’est dite soulagée ce vendredi après la condamnation de Jordy Goukara, reconnu coupable de deux viols à Paris. Le prévenu, déjà condamné à plusieurs reprises et visé par des obligations de quitter le territoire, n’a montré aucun remords.
Le combat judiciaire aura duré deux ans. La cour criminelle de Paris a condamné ce vendredi Jordy Goukara, 27 ans, pour deux viols commis dans des halls d’immeuble à Paris en novembre 2023. Déjà condamné à douze reprises et sous le coup de plusieurs obligations de quitter le territoire français (OQTF), le prévenu n’a exprimé aucun remords face à ses victimes.

« Un soulagement » : l’homme accusé des viols de Claire Geronimi et de Mathilde condamné à 18 ans de prison
L’accusé, sous OQTF, voit également sa peine assortie d’une interdiction définitive du territoire français, pour le viol des deux jeunes femmes en plein jour à Paris en 2023. Il a été reconnu coupable du viol de deux jeunes femmes en plein jour à Paris en novembre 2023. Un Centrafricain de 27 ans a été condamné ce vendredi à Paris à 18 ans de réclusion criminelle, a appris Le Parisien auprès de Me Romain Vanni, l’avocat de Claire Geronimi, l’une des victimes, confirmant une information du Figaro.

Affaire Claire Geronimi : l'accusé sous OQTF condamné à 18 ans de prison
Jordy Goukara, un Centrafricain de 27 ans, a été condamné à 18 ans de prison et à une interdiction définitive du territoire français pour les viols de Claire Geronimi et Mathilde.
Les faits remontent au 11 novembre 2023. Après avoir été suivie dans la rue par un homme, Claire Geronimi, aujourd’hui âgée de 28 ans, a été violée en plein après-midi dans son hall d’immeuble, rapporte Le Parisien. Plus tôt dans l'après-midi, une autre jeune femme, Mathilde, était elle aussi victime d’un viol dans l'entrée d'un autre immeuble alors qu'elle se rendait à un entretien de baby-sitting. L’agresseur, Jordy Goukara, un ressortissant centrafricain, a été condamné à 18 ans de prison et à une interdiction définitive du territoire français.

Affaire Geronimi : un homme sous OQTF jugé à Paris pour deux viols commis dans la même journée
Un Centrafricain de 26 ans, sous le coup d’obligations de quitter le territoire français (OQTF), est jugé depuis mercredi devant la cour criminelle de Paris pour deux viols commis en novembre 2023. Le verdict est attendu vendredi
Les faits remontent au 11 novembre 2023. Claire Geronimi, alors âgée de 27 ans, affirme avoir été suivie puis agressée dans le hall de son immeuble en plein après-midi. Quelques heures plus tôt, une autre femme, Mathilde, avait été violée dans l’entrée d’un immeuble alors qu’elle se rendait à un rendez-vous de baby-sitting. Les deux victimes ont demandé que l’audience soit publique.

«Je sentais que je basculais du côté obscur» : le profil très inquiétant du clandestin sous OQTF accusé du viol de Claire Geronimi
COMPTE RENDU D’AUDIENCE - Arrivé en France en 2009, ce Centrafricain de 27 ans a adopté au premier jour du procès une attitude désinvolte et provocatrice. La cour criminelle de Paris s’est replongée ce mardi dans son passé de délinquant.
«Je n’avais jamais connu une affaire pareille», admet un policier à la barre du tribunal. Jordy Goukara, un Centrafricain de 27 ans, est jugé depuis ce mercredi par la cour criminelle de Paris pour deux viols, commis le samedi 11 novembre 2023, en plein après-midi dans deux quartiers chics de la capitale. Les faits ont eu lieu entre 15h50 et 17h05, ce qui vaut à l’accusé d’être renvoyé devant la justice pour «viols en concours avec un ou plusieurs autres viols commis sur d’autres victimes», une qualification extrêmement rare, et «viols commis sous la menace d’une arme».

«Ton courage nous éclaire» : Marlène Schiappa solidaire de Claire Géronimi, violée à Paris par un homme sous OQTF
L’ex-secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes a adressé sur les réseaux sociaux un long message de soutien à Claire Géronimi alors que le procès de l’individu sous OQTF accusé de l’avoir violée s’est ouvert ce mercredi à Paris. «Tu pourrais être ma petite sœur, ma cousine, ma collègue ou même ma fille», a écrit mardi soir sur ses réseaux sociaux Marlène Schiappa. L’ex-secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes a tenu à se montrer solidaire de Claire Géronimi, victime d’un viol dans la capitale le 11 novembre 2023 et dont le procès du principal suspect, un Centrafricain de 27 ans, s’est ouvert mercredi à Paris.

«Ce jour-là, j'étais en mission» : le témoignage glaçant de l'homme accusé d'avoir violé Claire Géronimi, également visé par trois OQTF
Deuxième journée d'audience au procès du violeur présumé de Claire Géronimi. La fondatrice de l'association "Éclats de Femme" et vice-présidente de l'Union des droites pour la République (UDR) était une nouvelle fois confrontée ce jeudi à son agresseur, un Centrafricain visé par trois OQTF.
Un accusé qui semble n'avoir aucun remord. Ce jeudi 25 septembre, lors de la deuxième journée d'audience au procès du violeur présumé de Claire Géronimi, la fondatrice de l'association Éclats de Femme était une nouvelle fois confrontée à son agresseur, un Centrafricain visé par trois OQTF au moment des faits en novembre 2023. Une autre femme, Mathilde, violée quelques minutes avant la vice-présidente de l'Union des droites pour la République (UDR), était également présente sur le banc des parties civiles.

«Je ne dors plus» : les témoignages poignants de Mathilde et Claire violées par un OQTF
Le procès de l’homme sous OQTF accusé d’avoir violé Claire Geronimi, la vice-présidente de l'UDR, s’ouvre à la cour criminelle de Paris ce mercredi 24 septembre. Dans un premier temps, la Cour est revenue sur la personnalité de l'agresseur, décrit comme étant un prédateur sexuel violent dans ses gestes et dans ses mots.
"L'État n'a pas fait son travail et n'a pas su nous protéger". Ce mercredi dans Europe 1 Matin, Claire Geronimi a témoigné du viol qu'elle a subi, avant l'ouverture du procès de son agresseur présumé. En novembre 2023, un Centrafricain de 27 ans sous OQTF la suit dans le hall de son immeuble et la menace de mort si elle ne se soumet pas.

«L'État n'a pas fait son travail et n'a pas su nous protéger», dénonce Claire Geronimi, violée par un récidiviste sous OQTF
Invitée ce mercredi de Dimitri Pavlenko, Claire Geronimi s'est exprimé sur le viol qu'elle a subi en novembre 2023, avant l'ouverture du procès de son agresseur présumé ce même jour. "L'État n'a pas fait son travail et n'a pas su nous protéger", dénonce-t-elle dans "Europe 1 Matin".
"L'État n'a pas fait son travail et n'a pas su nous protéger". Ce mercredi dans Europe 1 Matin, Claire Geronimi a témoigné du viol qu'elle a subi, avant l'ouverture du procès de son agresseur présumé. En novembre 2023, un Centrafricain de 27 ans sous OQTF la suit dans le hall de son immeuble et la menace de mort si elle ne soumet pas.

«Qu’il reconnaisse qu’il a détruit une bonne partie de ma vie» : l’audition poignante de Claire Geronimi au procès de son violeur présumé
PROCÈS. Face à leur agresseur présumé, un homme d’origine centrafricaine sous le coup de trois OQTF, jugé du 24 au 26 septembre pour les viols du 11 novembre 2023, Claire Geronimi et Mathilde ont témoigné, dignes et solidaires, exigeant justice et réparation. « J’y entrerai la tête haute ». Cette promesse, faite par Claire Geronimi quelques heures avant l’ouverture du procès de son agresseur présumé Jordy G. ce mercredi 24 septembre, a été entièrement respectée, malgré la vive émotion.

Procès de l'agresseur de Claire Geronimi : le débat rouvert sur les OQTF
Pierre-Marie Sève, directeur de l'Institut pour la Justice, et Clotilde Vilsange, militante pour l'association fondée par Claire Geronimi, «Éclats de femme», étaient au tribunal de Paris avec Timothée Dhellemmes pour Points de Vue.

«On aurait pu être Lola ou Philippine» : le procès de l'agresseur présumé de Claire Geronimi s'ouvre ce mercredi
Ce mercredi devant la Cour criminelle de Paris, le procès de Jordy G. s'ouvre. Ce Centrafricain de 27 ans est accusé d'avoir violé sous la menace d'une arme blanche en 2023 la vice-présidente de l'UDR, Claire Geronimi. "J'ai la chance d'être en vie", a-t-elle confié au micro d'Europe 1.
Le 11 novembre 2023, un homme sous OQTF (obligation de quitter le territoire français, ndlr) est accusé de viol sur Claire Geronimi. Les faits ont été commis, sous la menace d'une arme blanche, dans le hall de son immeuble dans le 8e arrondissement de Paris. Le procès de Jordy G., un Centrafricain de 27 ans, s'ouvre ce mercredi devant la Cour criminelle de Paris et doit se terminer vendredi 26 septembre 2025. L'occasion pour la vice-présidente de l’UDR de revenir sur cette agression au micro de Dimitri Pavlenko.

Violée par un délinquant, Claire Géronimi dénonce les défaillances de l'État et de la justice
Presque deux ans après avoir été violée dans son hall d’immeuble, Claire Géronimi s’apprête à confronter pour la première fois son agresseur présumé, au lourd passé judiciaire et sous le coup de trois OQTF. Son procès s’ouvre ce mercredi 24 septembre. Combative, elle attend de la justice une sanction exemplaire.

Le procès de l’agresseur présumé de Claire Geronimi, violée par un individu sous OQTF en 2023, commence ce mercredi
Ce mercredi, marque le début du procès de le suspect qui a agressé Claire Geronimi, à Paris en 2023. Fondatrice de l'association Éclats de femme et Vice-présidente de l’UDR (Union des Droites pour la République), elle a choisi de «réclamer une audience publique». Celle-ci se tiendra jusqu'au 26 septembre.
Un appel à la mobilisation, pour la sécurité des femmes. Ce mercredi, dès 8h, s'ouvre le procès de l'homme qui a agressé Claire Geronimi, le 11 novembre 2023. Fondatrice de l'association Éclats de femme et Vice-présidente de l’UDR, Claire Geronimi a été violée par un individu sous OQTF, en plein après-midi, dans le 8e arrondissement de Paris.

Victime d’un viol, engagée en politique : qui est Claire Geronimi, dont l’agresseur présumé est jugé à partir de ce mercredi ?
Le procès de l’homme sous OQTF accusé d’avoir violé Claire Geronimi s’ouvre à la cour criminelle de Paris ce mercredi 24 septembre. Deux ans après les faits, celle qui est devenue vice-présidente de l’UDR dénonce un État défaillant. « Demain (mercredi), ensemble, faisons de ce procès un symbole ». Le message est clair, et a été posté sur X ce mardi par Claire Geronimi. Cette jeune femme de 28 ans, a été violée dans son hall d’immeuble à Paris le 11 novembre 2023.

Claire Geronimi, violée par un récidiviste sous OQTF : «J'ai été abandonnée par les féministes»
Claire Geronimi, porte-parole d'Eclats de femme, a livré lors du débat «OQTF, le grand fiasco», un témoignage puissant. Violée par un récidiviste sous OQTF, elle a expliqué avoir été «abandonnée par les féministes ». «Je n'étais pas la bonne victime, mon bourreau n'était pas le bon agresseur non plus, donc ça dérange», a-t-elle souligné.

Claire Geronimi : «J’ai besoin de vous pour que justice soit faite»
La jeune femme a été violée par un individu sous OQTF il y a deux ans. À l’approche du procès, qui aura lieu du 24 au 26 septembre, elle invite la société française à se mobiliser pour la sécurité des femmes. Aujourd’hui, je choisis de vous écrire à cœur ouvert. Parce que mon histoire n’est pas un fait divers, mais le reflet d’une réalité trop répandue : celle de l’insécurité. Cette lettre ouverte est un appel, un appel à la société, aux citoyens, aux institutions : nous ne pouvons plus détourner le regard ni réduire les victimes au silence.

"Accompagner les femmes victimes d’agressions sexistes ou sexuelles": victime d’un viol, elle crée une nouvelle association à Nice pour les victimes
Claire Géronimi a été victime d’un viol commis par un homme sous obligation de quitter le territoire français. Depuis, elle a fait de son agression un combat notamment à travers son association Éclats de Femme, qui ouvre une antenne, ce vendredi 29 août 2025, à Nice.
Claire Géronimi attend toutes les femmes ce vendredi 29 août 2025 à Nice. En particulier, des femmes victimes de violences sexistes et sexuelles, que cette jeune entrepreneuse francilienne [...]. Car elle aussi a connu l’horreur.

Nantes : cette association qui accompagne les femmes victimes d’agressions sexuelles prône un féminisme plus réaliste
Du dépôt de plainte au procès, Éclats de femme propose un soutien psychologique et juridique. Lancée par Claire Geronimi, victime d’un viol, cette association se développe en régions et vise aussi à prévenir les agressions de rue.
Son histoire a fait grand bruit. En novembre 2023, Claire Geronimi s’était fait violer dans un quartier chic de Paris, sous la menace d’une arme, par un individu faisant l’objet d’une OQTF. Ce drame l’a poussée à fonder un an plus tard l’association Éclats de femme. La structure accompagne les victimes d’agressions sexuelles, du dépôt de plainte au procès, période relevant souvent du parcours du combattant.

Piqûres, insultes, agressions : quand l’insécurité chasse les femmes de l’espace public
TRIBUNE. Cet été encore, alors que le temps devrait être à la fête, de nombreuses femmes sont contraintes de se terrer chez elles sous peine d’être victimes d’agressions. Claire Geronimi, vice-présidente de l’UDR et présidente de l’association Éclats de femme, dresse un constat amer : la peur féminine s’installe durablement.

Une belle avancée pour Éclats de femme : notre association est référencée sur Mauve
Nous avons le plaisir de vous annoncer une belle nouvelle : Éclats de femme est désormais référencée sur la plateforme Mauve ! Un pas de plus pour rendre nos actions visibles, accessibles et utiles à toutes les femmes concernées.
Mauve est une plateforme numérique dédiée à la santé mentale et au bien-être. Elle centralise des ressources fiables, bienveillantes et concrètes pour accompagner les femmes et les personnes de genre minorisé dans leurs parcours de soin et de reconstruction.

Claire Geronimi et Lucie Dubut : Deux parcours EFAP, une même cause : faire entendre la voix des femmes
Anciennes étudiantes de l’EFAP, Claire Géronimi et Lucie Dubut ont transformé leurs parcours brillants dans la mode et le luxe en un projet porteur de sens : l’association Éclats de Femme. Ensemble, elles brisent le silence autour des violences sexuelles et œuvrent chaque jour pour accompagner, écouter et protéger les victimes. Rencontre avec deux diplômées engagées et inspirantes.

Violences après le sacre du PSG : quand les femmes fuient là où elles pourraient célébrer
Les images parlent d’elles-mêmes. Voitures incendiées, vitrines fracassées, policiers agressés, deux morts. Une fois de plus, la violence de certains « supporters » a saturé l’espace public. Et comme toujours, nous nous indignons — à juste titre. Pourtant, ce que l’on ne voit pas sur ces images devrait tout autant nous alerter : l’effacement des femmes, leur absence presque totale dans l’espace public ce soir-là, comme si elles avaient fui un terrain devenu hostile.

Claire Geronimi : « Quand la justice traite la victime comme l’agresseur »
Après avoir subi un viol, Claire Geronimi a été exposée à une expertise psychiatrique qui lui a semblé parfois violente. Depuis, elle a reçu nombre de témoignages d’expériences similaires à la sienne, et entend rappeler que les victimes n’ont pas à être traitées comme les coupables.

«Notre premier outil de défense, c’est nous-même» : l’association «Eclats de femmes» vient en aide aux victimes de violences dans la rue
Aider les victimes d’agression et sensibiliser : voici l’objectif de Claire Geronimi, fondatrice de l’association «Éclats de Femme». Ce dimanche 15 décembre, elle a organisé son premier événement public dans le 5e arrondissement de Paris.

Claire GERONIMI : Mon viol a dérangé les médias, certains politiques et une partie de la population
Entre vous et moi : Claire Geronimi - Épisode 13 - Saison 3 - Présenté par Dominique Lagrou-Sempère
Claire Geronimi a été victime d’un viol le 11 novembre 2023 à Paris, dans son hall d’immeuble, alors qu’elle rentrait chez elle. Elle apprend que son agresseur présumé était sous le coup d’une OQTF et qu’il a fait une autre victime. Dans l’attente de son procès, Claire a décidé de prendre la parole pour dénoncer l’insécurité mais aussi le mépris de certains médias. Même si certaines voix voudraient la faire taire, elle a fait le choix de se confier sur "Entre vous et moi".

Claire Geronimi : « Ma démarche a contribué à libérer la parole sur ce type de sujet ! »
Claire Geronimi a accordé un entretien à Frontières. Dans une lettre publiée sur ses réseaux sociaux le 11 novembre, elle revient sur le drame dont elle a été victime, exactement un an auparavant. La fondatrice de l'association Éclats de femme évoque pour nous son parcours de reconstruction et sa prise de conscience de l'importance de son témoignage, notamment auprès d'autres victimes.

Claire Geronimi : « Il y a une véritable omerta sur le sujet des viols par des OQTF »
Le meurtre de Philippine, violée et tuée par un Marocain récidiviste et sous OQTF, met à nouveau l’Etat face à ses responsabilités. Il faut que dire la France possède un des plus faibles taux de renvois de ses OQTF dans leur pays d’origine (moins de 7% contre 30% dans le reste de l’UE). Un dysfonctionnement profond, pour des raisons à la fois structurelles et idéologiques, qui brise des vies.

Claire Geronimi, victime d’un viol à Paris : “Vingt minutes c’est très long. Normalement, un viol, c’est entre 2 et 3 minutes”
Victime d’un viol le 11 novembre dernier à Paris, Claire Geronimi tente difficilement de se reconstruire depuis l'agression. Pour Yahoo, la jeune femme de 26 ans s’est livrée sur ce drame commis par un homme en situation irrégulière. Elle a également tenu à dénoncer la non-exécution des OQTF (obligation de quitter le territoire) en France.

Claire, violée dans son hall d'immeuble : « Ma parole ne compte pas pour grand monde »
Impeccablement apprêtée, Claire Geronimi vient raconter le pire. Encore une fois. Elle ne s’attarde pas sur ce viol qui a fait basculer sa vie le 11 novembre dernier. Elle veut raconter la suite « pour que ça change ».











